C’est quoi L’Espoir : Bibliquement parlant, l'espoir est "une attente confiante du bien". C'est l'état d'esprit que j'ai en raison de ma foi en la présence et la puissance de Dieu. Si l'espérance anime l'esprit, elle n'est pas un simple vœu pieux. L'espérance fait partie de l'armure de Dieu que nous devons revêtir afin de résister aux attaques de l'ennemi. "Nous devons nous revêtir de la cuirasse de la foi et de l'amour, et comme casque, de l'espérance du salut" (I Thess. 5:8). Le casque de l'espérance est la protection que Dieu a prévue pour notre tête, notre esprit et nos pensées. Lorsque nous regardons fidèlement la vision que Dieu a placée dans notre cœur, l'espoir surgit et devient la défense dont notre esprit a besoin dans le combat spirituel. L'espoir est le sous-produit de l'appartenance au Christ. Éphésiens 2:12 dit qu'être séparé du Christ, c'est être "sans espérance et sans Dieu dans ce monde". Lorsque j'oublie d'intégrer le Christ dans mes considérations et mes calculs, je suis sans espoir. Lorsque je ne vois pas le Christ dans ma vie et dans les circonstances, je n'ai pas d'espoir. Mais quand je suis uni au Christ, quand je le vois faire toutes choses selon le conseil de sa volonté, quand je le vois dominer et régner dans ma vie, l'espérance est le stimulant qui me fait avancer. Qu'est-ce qui a maintenu Jésus sur la croix ? Au milieu d'une douleur atroce, alors que même son Père lui tournait le dos, quelle motivation était assez forte pour lui permettre de répondre à l'appel de Dieu sur sa vie ? C'est l'amour qui l'a conduit à la croix, mais c'est l'espoir qui l'a fait rester. "Pour la joie qui était devant lui, il a supporté la croix, méprisant la honte" (Héb. 12:2). Jésus avait une vision claire de ce que Dieu voulait accomplir par sa vie et sa mort. Lorsque toutes les autres motivations ont perdu leur pouvoir sur lui, l'espoir dans la vision de la joie de nous emmener, vous et moi, avec lui dans la gloire, a gardé son esprit et l'a maintenu fidèle à son appel. Lorsque nous fermons nos oreilles à la multitude de voix qui nous entourent et que nous ouvrons nos oreilles intérieures à la seule voix de Jésus, nous nous retrouverons à aller de l'avant avec un esprit et un but uniques que nous n'avons jamais connus auparavant. Le rhéma de Dieu nous libérera de la tyrannie de l'urgence, car nous n'agirons que dans l'obéissance à sa direction. Au cours des dernières années, j'ai reçu de Dieu, le soir du Nouvel An, une commission pour l'année à venir. Il m'a indiqué par le rhéma où je devais concentrer ma vie et mes énergies pour l'année à venir. Au lieu de faire un travail en demi-teinte sur de nombreux projets, je suis libre de me consacrer à faire un excellent travail sur une ou deux entreprises. Au lieu d'effleurer au hasard les nombreux domaines de ma vie qui ont besoin de changement et de croissance, je peux me concentrer sans culpabilité sur le domaine spécifique sur lequel Dieu veut travailler cette année. J'ai constaté qu'en obéissant à Ses directives, des changements majeurs ont été apportés à ma vie spirituelle, qui ont à leur tour affecté tous les domaines de ma vie. Mais qu'en est-il de toutes les choses auxquelles nous tournons le dos et que nous laissons inachevées ? L'accusateur fera tout ce qu'il peut pour ramener l'inquiétude et la culpabilité sur nous concernant ces choses. Lorsqu'il essaie de vous piéger avec ces pensées, rappelez-lui que vous n'êtes plus l'esclave de ses ruses. Vous n'êtes plus une marionnette au bout de son fil, secouée de droite à gauche par chaque besoin criant. Vous vous occupez des affaires de votre Père. Vous faites ce pour quoi Dieu vous a conçu et c'est tout ce dont vous pouvez vous préoccuper. Alors que Jésus était suspendu à la croix, il a dit : "Tout est accompli" (Jean 19:30). Il y avait encore beaucoup d'âmes à sauver. Il y avait encore beaucoup de malades à guérir, d'opprimés à délivrer et d'affamés à nourrir. Comment pouvait-il penser que tout était terminé ? Ce n'est que parce que Jésus savait pourquoi Dieu l'avait envoyé sur terre qu'il pouvait partir en paix. L'œuvre que Dieu lui avait confiée était accomplie.
